IRREALITE
"Il pleut sur mon jardin,
Il pleure sur mon pays,
Mes roses ont du chagrin,
Bonjour les amis
Là-haut, le ciel est gris
Mais mon âme sourit
Car au bout du jardin
M'attendent des amis
Pour un jeu de cache-cache
Plumes et brumes se confondent
Je suis dans cet espace
Qui me lie, immergée,
Je flotte dans ce monde
Dans lequel je suis enfoncée
Dans la nuit, un voile de douceur
Efface des vagues de brume,
Lentement disparaissent
Perles d’eau, son de plumes
Les silhouettes apparaissent
Mon amie la lune
M’aide au jeu de la séduction
Puis les oiseaux s’éveillent
Mes yeux s’émerveillent
Je m’étire doucement,
Je suis attentive aux mouvements."
(Mise en forme : L.M. juillet 2011 -
Texte :Cathi et Nicky "Bassimont" - Ma Planète)
Écrire des poèmes, lire, mettre en ligne des articles sur mes blogs (5), faire des promenades, les magasins (shopping), vélo, conduite en voiture, regarder la TV (émissions, documentaires, information...), communiquer avec mes proches (enfants, ma maman), mes amis (es) réels (les) et virtuels (les), confectionner de bons petits plats...Pour les gastronomes, j'ai quelques bonnes recettes à vous faire partager.
P R I N T E M P S (en acrostiche)
Premiers signes d’une renaissance
Retour des beaux jours
Innocence des amours encore fragiles
Note de fraîcheur gracile
Terres humides par les brumes claires
Emerveillement devant la première fleur
Montrant timidement ses frêles pétales
Plaines nostalgiques sous la tiédeur d’un
Soleil jaune pâle luisant dans un écrin bucolique.
(L.M. mars 2010)
Bandol : vue des calanques un soir d'été
JE SUIS UN SOIR D'ETE
"Et sous la préfecture
Fête la sous-préfecture
Sous le lustre à facettes
Il pleut des orangeades
Et des champagnes tièdes
Et des propos glacés
Des femelles maussades
De fonctionnarisés
Je suis un soir d'été
Aux fenêtres ouvertes
Les dîneurs familiaux
Repoussent leurs assiettes
Et disent qu'il fait chaud
Les hommes lancent des rots
De chevaliers teutons
Les nappes tombent en miettes
Par dessus les balcons
Je suis un soir d'été
Aux terrasses brouillés
Quelques buveurs humides
Parlent de haridelles
Et de vieilles perfides
C'est l'heure où les bretelles
Soutiennent le présent
Des passants répandus
Et des alcoolisants
Je suis un soir d'été
De bourdes amoureuses
Aux odeurs de cuisine
Promènent leur poitrine
Sur les flancs de la Meuse
Il leur manque un soldat
Pour que l'été ripaille
Et monte vaille que vaille
Jusqu'en haut de leurs bas
Je suis un soir d'été
Aux fontaines les vieux
Bardés de références
Rebroussent leur enfance
A petit pas pluvieux
Il rient de toute une dent
Pour croquer le silence
Autour des filles qui dansent
A la mort d'un printemps
Je suis un soir d'été
La chaleur se vertèbre
Il fleuve des ivresses
L'été a ses grand-messes
Et la nuit les célèbre
La ville aux quatre vents
Clignote le remords
Inutile et passant
De n'être pas un port
Je suis un soir d'été".
(Jacques Brel - 1968)
L'automne
Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
J'aime à revoir encor, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits,
C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !
Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d'un regard d'envie
Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !
Terre, soleil, vallons, belle et douce nature,
Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ;
L'air est si parfumé ! la lumière est si pure !
Aux regards d'un mourant le soleil est si beau !
Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie
Ce calice mêlé de nectar et de fiel !
Au fond de cette coupe où je buvais la vie,
Peut-être restait-il une goutte de miel ?
Peut-être l'avenir me gardait-il encore
Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ?
Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore
Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu ? ...
La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ;
A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ;
Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu'elle expire,
S'exhale comme un son triste et mélodieux.
** Alphonse de Lamartine, 1790-1869 **
"Aujourd'hui, je vous offre la clé du bonheur.
C'est une clé que
Vous avez peut-être perdue ou oubliée ?
Quoi qu'il en soit,
J'aimerais que vous l'acceptiez.
Je vous la donne en toute sincérité,
Avec tout mon cœur.
Il y a peut-être longtemps
Que vous vous empêchiez de faire des choses
Qui feraient votre bonheur.
Vous avez peut-être mis de côté
L'idée de partir en voyage,
De prendre un cours quelconque,
De vous acheter de nouvelles fringues,
De changer de voiture...
Enfin, de vous faire plaisir.
Je sais que plusieurs raisons ont pu
Vous empêcher de passer à l'action
Afin d'obtenir ou faire ce que vous désirez.
Cela peut être la peur de ne pas être
A la hauteur, la peur qu'il vous arrive
Quelque chose de désagréable,
La peur de manquer d'argent,
La peur d'être jugé...
Quelles que soient vos peurs,
Saviez-vous qu'elles existent pour vous aider ?
Les peurs existent pour être dépassées,
Pour vous faire grandir.
A chaque fois que vous vous laissiez
Contrôler par une peur,
Vous n'êtes plus en contact avec vôtre pouvoir.
En faisant confiance davantage à la vie (en passant à l'action)
Et en vous rappelant que tout
Ce qui vous arrive n'est
Qu'expériences pour apprendre,
Vous deviendrez de plus en plus conscients
Que vous avez ce grand pouvoir
De vous apporter tout ce dont
Vous avez besoin pour être heureux.
Personne n'est responsable de vôtre bonheur,
Sauf vous.
Commencez par des petits bonheurs
Et dites-vous que tu y avez droit.
Tout le monde doit dépasser ses peurs.
Réalisez qu'au fond,
Vous n'avez rien à perdre
Et que cette expérience vous mènera
Vers de plus grandes réalisations.
Commencez dès maintenant
En accomplissant des petites actions.
Tôt ou tard, selon la loi de la manifestation,
Vous atteindrez votre but.
Soyez patient !
Saviez-vous que :
Vous faites ce que vous aimez
Pour votre propre plaisir ?
Que vous faites ce que vous n'aimez pas
Par peur de déplaire ?
Il y aura toujours quelqu'un
Qui critiquera quelque part.
Alors pourquoi ne pas faire
Ce que vous aimez dès maintenant ?
Aussi, ne placez jamais quelqu'un
Sur un piédestal.
Cette personne a le même pouvoir que vous. N'enviez personne.
Ce qui la rend heureuse,
N'est pas nécessairement
Ce qui vous rendrait heureux.
La clé est d'aller chercher vous-même
Ce que vous avez vraiment envie.
Chaque jour est un jour nouveau.
Pourquoi ne pas faire de ce jour celui
Où vous avez commencé à vous rendre heureux ? Ouvrez vos ailes et dirigez-vous
Vers ce qui vous tient à cœur.
Ceci est la clé du bonheur.
Ne la gardez pas uniquement pour vous.
Plusieurs personnes de vôtre entourage
Aimeraient aussi obtenir cette clé.
Offrez-là leur en toute sincérité
Et commencez à semer le bonheur autour de vous. Attrapez la clé du bonheur et envoyez-là
A tous ceux que vous connaissez.
Je vous souhaite sincèrement tout le bonheur
que vous voulez"!
(Merci à Lise3Papillons pour ce joli message)
« Comment décrire l’amitié,
Si celle-ci est dans notre pensée
Puisqu’il n’y a pas de mot
Pour définir ce cadeau…
Les amies sont notre cœur
Et une partie de notre bonheur
Elles nous apprennent la vie,
Et pour nous, sont toujours jolies…
Elles nous aident tout le temps
Comme si on était une enfant
Et on les apprécie
Tous les jours de notre vie…
Elles font briller notre cœur
Avec beaucoup de bonheur
On offrirait les plus belle proses
Pour leur raconter les choses
Qu’elles nous apportent chaque jour
Cet amour, cette amitié là est pour toujours ».
(Marie-Pierre – octobre 2007)
C'EST L'HIVER
Nous filons sur la neige blanche
En ce beau jour de dimanche
À travers les sapins verts
C'est l'hiver, c'est l'hiver, c'est l'hiver
Les enfants de notre village
Chantent la joie de leur âge
Et les grands murmures de se taire
C'est l'hiver, c'est l'hiver, c'est l'hiver
Le bon Dieu dans son paradis
Doit aussi chanter avec nous
Oh! Filons sur la neige blanche
En ce si beau jour de dimanche
À travers les sapins verts
C'est l'hiver, c'est l'hiver, c'est l'hiver
Le bon Dieu dans son paradis
Doit aussi chanter avec nous
Car la nature est si jolie
Le bleu de son ciel est si doux
Oh! Filons sur la neige blanche
En ce si beau jour de dimanche
À travers les sapins verts
C'est l'hiver, c'est l'hiver, c'est l'hiver
(Marie-Michèle Desrosier)
"Les souvenirs sont comme les voyageurs, ils parcourent des espaces qui sont parfois inexistants, mais ceux qui sont imprimés dans le cœur et dans l'esprit rien ni personne ne pourra jamais les effacer. Ils vous appartiennent et vivrons avec vous pour toujours.
Ce sont ces ressources immenses et précieuses qui vous permettront de sourire entre une larme nostalgique et sereine et une méchante tristesse."
"Un peu plus de cent ans déjà
En espérant que l'on continuera
Au fil de la valse du temps
Même si cette valse a cent un ans
Car une valse ça s'entend
Et ce, quel que soit l'âge
Elle restera toujours belle
Pour tous les amoureux et intemporelle
A toutes les Belles au Bois Dormant sages
Et attendant leur prince charmant."
MON SITE DE POÉSIES A VISITER :
"Les saisons de Mary"
http://lisemary-labyt.over-blog.com
ou www.lisemary-labyt.fr