Dans la série "mes contes poétiques" Le pianiste et la muse Au-delà des marées ,où nulle voile ne battait Sur un îlot ,de calme un pianiste vivait De ses doigts virtuoses les notes s’envolaient Mais d’esprit créatif point il ne disposait Le piano sur son dos vit muse se poser Toute vêtue de pourpre, elle se mit à pleurer. Une larme en tombant une touche caressa Et le doigt du pianiste la goutte effleura Un autre doigt suivit et sa main s’anima Et une douce aubade ,dans le ciel s’éleva La muse s’évapora l’inspiration resta. Depuis ,quand l’océan est à huile pareille Une douce musique caresse nos oreilles. Hubert
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