Je suis sa féline endormie aux yeux verts, Qui garde secret un charme et un peu de mystère. J’ai toujours en moi du vent qui enivre, Que celui qui m’aime me suive. D’une poésie de plume qui illumine l’âme Dans une fantaisie facile en sésame. D’une douce partition qui révèle la beauté du monde Qui accorde l’harmonie des sons en notes profondes. C’est dans le fond de ses yeux ouverts Que je regarde le ciel bleu tendre à l’envers. Une invite au bonheur en belle espérance Qui nous berce des plus tendres utopies de mirages jusqu’au tombeau. Car l’amour est une flamme qui s’enveloppe d’illusions d’apparences Brillante comme l’essence même de la poésie Dans l’art d’un miroir du langage en divinité et frénésie. Quand parfois je laisse couler l’encre de mes pensées Tendresse sans témoin de mots couchés Sur le papier, dans une nouvelle aube à aimer Dans une embellie qui s’envole au-delà de nuées parsemées. Au printemps avril fait la partie belle Quand sur une épaule glisse la fine dentelle Qu’il est doux alors d’aimer au gré des saisons, Quand ta bouche et tes mains me font perdre toute raison. [email protected]
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